Best Selling Books by Caleb Carr

Questa è una storia d’amore. Una storia d’amore vero, puro e disinteressato, quello che per diciassette anni ha unito Caleb Carr e Masha, una gatta delle foreste siberiane. Fin da bambino l’autore, figlio di due giornalisti alcolizzati parte della Beat Generation, ha trovato nella compagnia dei gatti una via di fuga dal caos e dalla violenza che regnava in casa. Da sempre i suoi compagni più fedeli non erano umani, ma felini, adottati o salvati dalla strada. Crescendo le cose non sono cambiate molto e Carr ha condiviso lunghi tratti di vita con gatti che sono stati per lui amici onesti e leali, motivo di gioia e riflessione, ispiratori e complici. Ma anche causa di paure e dolore, come quando la sua amata e anziana Soki scompare nel bosco che circonda la grande e solitaria casa che l’autore si è fatto costruire alle pendici dei monti Taconic, al confine tra lo stato di New York e il Vermont. Ed è proprio in un rifugio per gatti del Vermont che Caleb incontra Masha, una splendida e giovane gatta delle foreste siberiane, dal carattere forte e di spiccata intelligenza e sensibilità. Masha era stata crudelmente abbandonata, e già da mesi era ospite del rifugio dove aveva respinto tutti i potenziali nuovi padroni ed era diventata il cruccio e il terrore delle operatrici. Con Caleb, però, nasce subito una sintonia e Masha lo sceglie, perché: “la verità è che non siamo noi a scegliere loro, sono loro che scelgono noi.” Per i diciassette anni successivi i due sono stati inseparabili, uniti da un legame che con il tempo si è fatto sempre più forte e saldo. Masha aveva reso la casa e le foreste circostanti il suo indisputato dominio e, quando le accadeva qualcosa, solo Caleb poteva aiutarla. D’altra parte, quando era Caleb a soffrire, nel corpo o nell’anima, era Masha a sapere cosa fare per alleviare i suoi dolori. Profondo, toccante e commovente, Il mio mostro adorato è il racconto di un legame in grado di travalicare ogni confine, una storia d’amore e accudimento reciproco che tocca il cuore.

Tout commence lorsque Sherlock Holmes reçoit un télégramme de son frère Mycroft qui l''appelle à l''aide : proche conseiller de la reine Victoria, ce dernier craint pour la vie de la souveraine. En effet, deux de ses serviteurs ont été percés de plus de cinquante coups de poignard, exactement comme le secrétaire italien de Marie Stuart, assassiné trois siècles auparavant. Et on sait que celle-ci a fini sans tête... Il n''en faut pas plus à Holmes et à son fidèle Watson pour accourir sur les lieux du drame et démontrer que la force de déduction vient toujours à bout de l''inextricable quand il s''agit de défendre l''ordre, l''Empire et la reine.

Caleb Carr recaptures the path of Conan Doyle in one of his most popular novels, The Baskerville''s Hound (1902), whose resolution has paranormal shades. Little more than one century later, Carr brings back Sherlock Holmes as the main character, helped by the unconditional Watson, will investigate the stabbing, in the XVI century, of David Rizzio, confidant of Mary, queen of the Scots.

Verpletterende pageturner voor katten- en literatuurliefhebbers. Al sinds zijn turbulente jeugd met een gewelddadige vader koestert schrijver Caleb Carr een speciale band met katten. Ze bieden troost en slepen hem door menig dieptepunt heen, tot in zijn volwassen jaren en het begin van zijn schrijverscarrière. Als hij verhuist naar het platteland beleeft hij de meest bijzondere kattenliefde van allemaal met Masha, een verwaarloosde Siberische asielkat. Masha blaast en vecht met haar verzorgers, maar om de een of andere reden kiest ze Carr als haar redder. En wordt zij die van hem. Zeventien jaar lang vormen ze een onafscheidelijk paar: Masha heerst over het huis en de omliggende velden, Carr over zijn studeerkamer. Als zij gewond raakt na de zoveelste aanvaring met een hond, mag alleen Carr haar verzorgen. Wanneer zijn fysieke kwalen weer oplaaien, wijkt Masha niet van zijn zijde. En zo worden ze samen ouder, en gebrekkiger, totdat het ondenkbare zich aankondigt.

When a madman begins stalking victims on the streets of 1896 New York, a team of investigators is forced to apply radical and untested techniques that include fingerprinting and the controversial science of psychology.

Tout en menant sa carrière de romancier, Caleb Carr a continué à collaborer à de prestigieuses revues historiques spécialisées dans le domaine militaire. Il a ainsi écrit en 1996 pour le World Policy Journal un long article, terriblement prémonitoire, intitulé Le Terrorisme, arme de guerre. Depuis, la tragédie du 11 septembre 2001 a fait découvrir au monde entier ce qui a été présenté comme une nouvelle facette du terrorisme. Caleb Carr démontre ici qu''il n''en est rien et que le terrorisme a été utilisé en tant qu''arme en tout temps et en tout lieu, depuis Tamerlan, qui passait des villes entières au fil de l''épée afin d''empêcher toute révolte des cités voisines, jusqu''au bombardement de Dresde durant la Seconde Guerre mondiale, exclusivement destiné à terroriser les populations allemandes. Conclusion de l''historien : l''arme du terrorisme s''est toujours retournée contre ses auteurs... Un essai percutant, qui apporte un éclairage particulièrement pertinent sur les tragiques attentats du 11 septembre 2001.

Im New York der Jahrhundertwende verunsichert eine Mordserie an Jungen aus dem Armenmilieu die Bevölkerung.

2024. Alors que le tentaculaire réseau mondial offre toujours davantage d''informations, l''ordre international est au bord de l''explosion... La présidente américaine a été assassinée et une photo du meurtrier diffusée sur Internet accuse formellement l''Afghanistan. Mais alors que les États-Unis ont lancé une violente guerre contre le régime de Kaboul, il se pourrait que la photo soit en réalité un montage... Pour Gideon Wolfe, professeur en psychologie criminelle, une personne aussi démente que géniale a pris le contrôle de la Toile mondiale et cherche à plonger le monde dans le chaos. Sa traque le conduira jusqu''à Malcolm Tressalian. Nouveau capitaine Nemo, celui-ci est prêt à tout pour imposer une nouvelle société : falsifier l''histoire ou, à défaut, tuer le temps...

New York 1896... Un meurtrier auprès duquel Jack l''Eventreur fait piètre figure sème aux quatre coins du Lower East Side les cadavres d''adolescents atrocement mutilés sans provoquer la moindre réaction des pouvoirs publics... Révolté par tant d''indifférence, Théodore Roosevelt, alors préfet, fait appel à ses amis John Schuyler Moore, chroniqueur criminel et Laszlo Kreizler, aliéniste - spécialiste des maladies mentales - pour élucider cette énigme terrifiante. Leurs procédés sont révolutionnaires ! En étudiant les crimes, ils pensent pouvoir brosser le portrait psychologique de l''assassin, l''identifier et l''arrêter. Ils ont peu de temps. Le meurtrier continue à frapper. Les obstacles se multiplient mais rien ne pourra les arrêter... "Une grande et belle réussite à tous points de vue. L''œuvre d''un débutant surdoué." Bruno Corty, "Le Figaro" "Un thriller début de siècle parfaitement atypique spectaculaire d''intelligence." Marie Colmant, "Libération" "Un monde digne d''Eugène Sue. Avec l''ombre de Sherlock Holmes qui plane, non loin de celle de Jack l''Eventreur. Comme si Conan Doyle avait signé ce scénario teinté de ''Silence des agneaux''." Jean-Luc Douin, "Télérama" New York, juin 1897. L''épouse éplorée d''un diplomate espagnol engage la détective Miss Sara Howard pour lui vernir en aide : sa petite fille a disparu... Immédiatement, l''équipe de Lazlo Kreizler se reconstitue autour de Sara, et de déductions en analyses, le profil psychologique du kidnappeur apparaît peu à peu sur leur grand tableau noir. Se dresse progressivement le portrait d''un être dont les mobiles ne sont pas politiques, d''une personnalité en proie à une étrange perversion, d''un tueur d''enfants ayant toutes les apparences de la normalité. "Un formidable plaisir de lecture, passionnante et décapante, et la révélation d''un auteur." Michel Abescat - "Le Monde" "Une enquête spectaculaire. Pas le moindre temps mort." Christian Gonzalez - "Madame Figaro" " L''auteur de L''aliéniste, amène le lecteur à revisiter ses propres fantasmes de mort. Diabolique. " Jean-Pierre Dufreigne - "L''Express"