Most Popular Books by Pierre Christin

L'ouverture prochaine d'une mine dans le Rouergue provoque l'ire des habitants, de tous les habitants. Premier album de Tardi, publié dans Pilote en 1971

Die grosse Grenze. - Lebende Waffen. - DIe Kreise der Macht.

Luc Besson verfilmt "Valerian"! Diese Nachricht schlug hohe Wellen in der Filmbranche, war die Serie doch in vielerlei Hinsicht auch Vorbild für "Star Wars". Im Juli 2017 ist es so weit und der Film kommt in die Kinos. Der Film wird "Die Stadt der tausend Planeten" heißen und diese Ausgabe versammelt die beiden Abenteuer, die dem Film zugrunde liegen:"Das Reich der 1.000 Planeten" und "Botschafter der Schatten".

Transformer le « zinc » en or ? Les Aveyronnais de Paris ont découvert ce secret en investissant bars et brasseries dans les années trente, souvent au prix de luttes féroces entre clans. À travers l’histoire des Astruc, ce roman nous raconte leur saga. Surnommés « les milliardaires » au pays, les Astruc comptent parmi ces princes de la « bistrocratie » régnant en maîtres sur leur empire : dans le Rouergue, ils régentent leurs châteaux, leurs fermes, leurs somptueuses résidences secondaires ; à Paris, aucune belle affaire ne se monte sans leur appui. Par son mariage avec une héritière, Antoine Pereira appartient à cette famille dont il supporte de plus en plus mal l’âpreté et l’arrogance. Son aventure avec Laurence de Marnhac va renforcer son désir de couper les ponts. Mais c’est durant l’été, rythmé par les repas dominicaux, les fêtes paroissiales et les manifestations mondaines, qu’une affaire dans laquelle il est impliqué risque de faire éclater la famille et le scandale, de ruiner des années de dur travail... Pierre Christin, Aveyronnais de cœur, scénariste et auteur des plus grands succès de bande dessinée de ces dernières années, nous donne ici son troisième roman. Un roman de mœurs aux résonances balzaciennes, où amour, ambition et pouvoir, rivalisent. Une chronique de ces familles provinciales dont l’opiniâtreté au gain n’a d’égal qu’un sens inné des affaires.

L'astronef de Valérian et Laureline, gravement détraqué, se pose en catastrophe sur Blopik. Une planète de féodaux mal embouchés qui se livrent des guerres aussi archaïques qu'inexpiables. Mais que fait en ce lieu perdu une caravane d'artistes cosmiques égarés aux propriétés physiques étonnantes ? Et que transporte donc Valérian dans un conteneur scellé qui agace prodigieusement Laureline ?

Arrivés pauvres sur Rubanis, Valérian et Laureline seraient bien en peine d'imaginer qu'ils vont en repartir riches. Pourtant, tout peut arriver dans cette mégapole où règne la pagaille. Camions volants, limouzingues folles, chef de la police trop malin, indic trop froussard, aventurière armée d'un fouet crétiniseur, businessmen qui sautent par les fenêtres, aristopatrons complètement déboussolés, terribles images qui vident les têtes et brûlent les yeux... Sans compter un transluteur grognon de Bluxte et des shingouz à la moralité toujours aussi déplorable... Voilà tout ce que nos deux jeunes héros vont rencontrer au cours d'une enquête haletante leur permettant de découvrir qui, ou plutôt quoi, détient le pouvoir sur Rubanis.

La belle et énergique détective privée Edith Hardy enquête sur un jeune chimiste disparu avec la formule d'un parfum destiné à un nouveau médicament. Derrière cette affaire s'en profile une autre, sur fond de guerre froide et d'espionnage industriel. Dans la course aux antibiotiques qui fait alors rage, une " Trace pâle " (titre du tome 2, à paraître) suscite en effet bien des convoitises. Une intrigue courant sur trois albums, où l'on retrouve des atmosphères évoquant aussi bien Eric Ambler que Robert Doisneau ou Jacques Becker.

Sur un excellent scénario de Christin, une aventure fantastique bien rendue par le dessinateur.

A la suite d'une malencontreuse partie de cartes, les shingouz perdent la propriété de leur société, La Shingouzlouz.Inc. Or il se trouve que cette société, à cause d'une approximation dans l'interprétation des lois intergalactiques, est détentrice de la Terre ! Valérian – par ailleurs très préoccupé par sa future retraite d'agent spatio-temporel – et Laureline doivent rattraper cette bourde et convaincre le nouveau propriétaire, un certain Sha-Oo, "l'Assoifeur de monde", de la restituer à Galaxity. Avec cet album, le scénariste des Vieux Fourneaux et le dessinateur de Long John Silver proposent une science-fiction jubilatoire et décalée, telle qu'on peut la trouver dans Les Héros de l'équinoxe ou Bienvenue sur Aflolol. Un régal !

"Pendant que Laureline poursuit une quête mystérieuse dans la constellation de Cassiopée, Valérian s'abîme l'estomac dans des bistrots où il attend Monsieur Albert, représentant à Paris de Galaxity, capitale terrienne du futur. C'est que des choses hautement anormales se passent ici et maintenant, par exemple dans le métro où Valérian affronte un formidable monstre de feu. Ou encore en Lorraine où se serait manifestée une sorte de gigantesque créature boueuse. Le premier volume d'un passionnant double album se poursuivant avec Brooklyn station, terminus cosmos.

Etrange odyssée d'une jeune femme contemporaine à travers le monde. Participe à la fois du feuilleton traditionnel, quoique imprégné de féminisme pas trop outré, et du roman d'aventures sentimentales autour du monde. Scénario conventionnel sur un graphisme quasi photographique.

«Allons, tu sais bien que la violence révolutionnaire ne fait que répondre à celle de l'ordre établi... - Mais je sais aussi que le terrorisme de gauche n'a jamais rien résolu... Je finis par me demander si je n'ai pas eu tort de vous embarquer dans cette équipée de croulants.. - Tu mollis en vieillissant, Pritchard, permets-moi de te le dire.» «Un thriller violent et méditatif, beau et intelligent.» Jean-Patrick Manchette «Les Phalanges de l'Ordre Noir font partie de ces contes imaginaires qui décrivent avec le plus de justesse et de suggestion les cauchemars des derniers vingt ans du millénaire.» Télérama «Dense comme un roman, haletant comme un film à grand spectacle, déchirant comme la nostalgie d'une jeunesse qu'on ne peut revivre...» France-Soir «Les Phalanges de l'Ordre Noir vient de hisser définitivement le monde des bulles au niveau du roman.» Libération.

Huis clos dans une gated city de la côte ouest américaine. L'un de ces lotissements de luxe entourés d'une clôture inviolable, avec police privée, golf exclusif, caméras de surveillance partout et check point à l'entrée... Un groupe d'adolescents désoeuvrés, des "collectors" nazis acquis sur le Net, des 4x4 surpuissants et des armes de guerre... Tout est prêt pour le drame absurde. C'est à la nouvelle idéologie dominante d'une société de propriétaires refusant le monde extérieur que s'attaque Pierre Christin, en compagnie d'Alain Mounier. Mourir au paradis un album qui répond un quart de siècle plus tard à la décomposition de l'idéologie communiste dans le huis clos d'une datcha, dépeinte par Christin et Bilal dans Partie de chasse. La microsociété emprisonnée volontairement dans le petit paradis de Heaven's Estate sera-t-elle aussi condamnée?

Il y a longtemps que je voyage. Depuis l'adolescence où j'ai commencé à sillonner Paris en tous sens. La jeunesse où j'ai arpenté l'ouest américain en compagnie de Jean-Claude Mézières. Ensuite, les reportages dans les pays de l'Est à l'époque où personne n'allait là-bas et qui ont nourri toute une partie de mon travail pour Enki Bilal. Les errances sur les cargos, dans les villes sud-américaines ou au Cap Nord pour écrire d'autres récits... A un moment s'est imposée à moi la nécessité de boucler ma boucle. Pour savoir jusqu'où pouvait me mener mon étrange besoin de mouvement, il me fallait faire le tour du monde. Ce désir, où se mêlait le goût de l'enquête, de la fiction, du rêve, de l'indignation, du danger parfois aussi, m'a mené en 1992 durant plusieurs mois de Bucarest à Léningrad et au-delà, via la Turquie, Bombay, le Bengla Desh, les frontières cambodgiennes, la Chine, Tokyo, les Etats-Unis que je connaissais bien, les Caraïbes que je ne connaissais pas, les bords de la Baltique que je redoutais... De mon périple, est sorti un album un peu étrange. Mais pas plus étrange que mon voyage et ce que j'y ai découvert : par exemple, que ce qui fait le plus, et le plus vite, le tour du monde, c'est l'ARGENT, et ceux qui le manipulent. Car par certains côtés, " L'homme qui fait le tour du monde " est deux. Moi. Et l'autre. Roscoe K. Stockman, l'insaisissable, le redoutable homme d'affaires multimilliardaire que j'ai pisté dans son incessant parcours du globe. Au lecteur de le découvrir à notre suite.